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Bienvenue à notre introduction au révisionnisme historique!
Vous trouverez ici les questions les plus fréquemment posées à propos du révisionnisme historique. Nos réponses se trouvent sur cette page et vous pouvez facilement y accéder en appuyant le bouton de votre souris sur les questions. Si vous avez d'autres questions, Castle Hill Publishers, PO Box 118, Hastings TN34 3ZQ, England; Email: [email protected]. Maintenant nous vous souhaitons de trouver tout ce qu'il vous faut sur ce site! L'éditeur.
Questions et Réponses
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Le mot révisionnisme vient du latin revidere – réexaminer –. Le réexamen de théories traditionnellement admises est un procédé tout à fait normal qui existe autant dans le domaine des sciences naturelles que dans celui des sciences économiques. La science n'est pas dans un état fixe et immuable, c'est un processus dynamique ou le savoir s'accumule suite à des recherches, à l'apport de preuves nouvelles ou à la détection de failles dans des preuves anciennes. Ceci amène continuellement à remettre en cause d'anciennes théories et à les remplacer.
Le révisionnisme est donc une méthode de travail qui consiste à examiner à la loupe d'anciennes théories ou énoncés scientifiques et à en revoir les conclusions si de nouveaux éléments contredisent les idées acquises. Cette façon de faire est à la base de la méthode scientifique. C'est seulement en soumettant ces théories et affirmations à un examen critique et en les testant qu'on peut s'approcher de la vérité. En complément on peut se référer à la contribution du Dr. C. Nordbruch dans le journal suisse Neue Zürcher Zeitung du 12.6.1999
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Jusqu'à maintenant on considérait que l'Amérique avait été peuplée il y a 20,000 ans. De nouvelles découvertes laissent penser que des humains ont pu y vivre il y a 250,000 ans. Voir l'article de: V. Steen-McIntyre. |
L'histoire est toujours sujette à une analyse critique, particulièrement lorsque quelqu'un amène de nouveaux éléments ou des preuves qui sont en contradiction avec les croyances répandues. L'historien doit adopter un point de vue critique en deux circonstances:
Dans le premier cas peu d'éléments nouvellement découverts peuvent amener à changer dramatiquement notre conception historique. Par exemple l'idée traditionnelle voulant que les premiers européens soient arrivés en Amérique il y a quelques centaines d'années à peine. Des découvertes archéologiques n'ont pas seulement dans un premier temps permis d'apprendre que les Vikings ont atteint les côtes de l'Amérique vers le dixième siècle, mais aussi d'apprendre que des personnes de type européen étaient déjà présentes en Amérique il y a 10,000 ans ( voir par example l'article " Qui étaient les premiers autochtones d'Amérique?" de John Nugent ).
Dans le deuxième cas on peut se référer à un proverbe disant que le vainqueur d'une guerre en écrit l'histoire, et que sa version est rarement objective. La révision de l'image biaisée que donne la puissance victorieuse est souvent possible lorsque la confrontation entre ces deux acteurs est définitivement chose du passé. Ceci peut prendre des siècles puisque les historiens ne sont souvent pas autonomes financièrement et qu'ils dépendent du gouvernement qui les subventionne. Il n'y a à peu près jamais d'instituts indépendants et libres de toute pression. On doit être particulièrement méfiant dans un domaine comme l'histoire contemporaine ou chaque gouvernement à un intérêt politique important, en pensant au proverbe "Pour celui qui me donne du pain, je chante ma chanson " !
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L'Holocauste n'est pas supposé être une croyance mais un événement historique, aussi celui-ci doit-il être soumis aux mêmes règles qui s'appliquent à d'autres événements historiques. L'image que l'on se fait de celui-ci ne doit pas être exempte d'une étude critique. Si de nouvelles preuves sont apportées ou si d'anciennes preuves données auparavant s'avèrent fausses, un changement d'opinion s'avère nécessaire. On ne peut moralement s'objecter à ce que quelqu'un adopte une approche scientifique vis à vis quelque chose et tente de réfuter une conception erronée en autant que le style soit impersonnel et que les arguments soient étoffés.
La plupart des gens savent que les détenteurs du pouvoir politique ou médiatique n'aiment pas qu'une telle remise en question soit faite, c'est le cas partout dans le monde occidental mais particulièrement en Allemagne. On peut se référer à la
question 2
pour avoir à l'esprit ceci : Les puissants de ce monde ont un intérêt politique immense à maintenir la vision actuelle de l'Holocauste par tous les moyens dont ils disposent. Les intérêts politiques et financiers majeurs de certains groupes religieux y sont pour beaucoup, comme le spécialiste américain en sciences politiques N. G. Finkelstein l'a exposé longuement dans son ouvrage
l'Industrie de l'Holocauste.
Cet ouvrage est conseillé fortement au lecteur. Face aux inventions et distorsions largement répandues qui caractérisent cette histoire, le professeur Finkelstein s'étonne qu'il n'y ait pas plus de sceptiques de l'Holocauste! Le professeur Raul Hilberg, l'un des principaux écrivains sur ce sujet, pense de plus que
la superficialité et le manque de contrôle de qualité
sont les principaux problèmes qui caractérisent les recherches sur l'Holocauste. Des sceptiques sont demandés de toute urgence !
Ce problème ne concerne pas seulement certains groupes religieux mais aussi le nouvel ordre mondial mis en place par les alliés après la guerre puisque la crédibilité de celui-ci repose sur l'histoire telle que ceux-ci ont voulu l'écrire. Dans cette version l'Holocauste est la mosaïque centrale. Il y a aussi nombre de mouvements égalitaristes et/ou mondialistes dont l'hégémonie culturelle se base en grande partie dur cette pierre angulaire. Par exemple ces mouvements sont hostiles aux mouvements indépendantistes ou nationalistes en Asie, en Europe, dans le monde arabe, en Afrique, en Amérique et donnent comme explication que tout nationalisme ne peut mener qu'à Auschwitz et ses chambres à gaz...
De plus nombre de politiciens allemands savent jusqu'à quel point ce pays serait soumis à d'énormes pressions internationales s'ils toléraient la moindre attitude critique face à l'Holocauste, aussi embryonnaire puisse-t-elle être. L'Europe d'après-guerre s'est bâti sous la bannière morale de l'Holocauste, et l'intelligentsia réalise que permettre la moindre critique, le moindre doute à son propos serait ouvrir la porte à une banqueroute sociale et morale. Des raisons psychologiques de nature égoïste comme le prestige social amènent les intellectuels à adopter une attitude pusillanime et conformiste qui ne laisse aucune place à une remise en question.
Il n'est pas pertinent de savoir si quelqu'un a des opinions pour ou contre le mondialisme ou si quelqu'un désire se cramponne aux idées reçues ou de prendre en considération la situation de ceux qui ont le pouvoir. Le fait est qu'aujourd'hui ces groupes veulent prévenir toute approche critique face à ce tabou et à n'importe quel prix. Les médias du monde occidental sont maintenant unanimes pour traiter en parias ceux qui osent afficher leur scepticisme. Dans les pays de langue allemande, cette attitude est punissable de plusieurs années de prison (§130, sec. 3 du code criminel allemand, §3h en Autriche, §216bis en Suisse). Ceci devrait déjà amener les esprits critiques à se demander pourquoi l'establishment a besoin à tout prix d'adopter des mesures aussi draconiennes si la version traditionnelle de l'Holocauste est si irréfutable.
" Une recherche de la vérité doit faire place aux doutes, à l'interrogation et à la comparaison d'arguments. Et lorsque ces doutes et cette comparaison sont proscrits, qu'on vous demande de croire aveuglément, un blasphème devient apparent. Si maintenant ceux avec qui vous argumentez ont la vérité, ils accepteront toutes les questions et vous apporterons avec patience des réponses. Ils ne vous cacheront rien. S'ils mentent cependant, ils feront appel au juge. On ne s'y trompera pas. La vérité se tient d'elle-même. Le mensonge lui doit s'appuyer sur l'intimidation.
Un autre exemple mérite d'être relevé: Dans sa contribution à l'érection du monument de l'Holocauste de Berlin, Lea Roshs prophétisait à propos de ceux qui le mette en doute:
"Il y en a plusieurs qui n'y croient pas. Dans 20 ans ils seront encore plus nombreux."
La prédiction de Lea Roshs n'était pas sans fondements.
Notre connaissance de chacun des événements historiques s'accroît
normalement avec le temps. Et ce n'est pas en dépit
du fait que certains témoins meurent, mais plutôt parce que le passage du temps et la disparition de certains acteurs permet cette dynamique. Les acteurs de tels événements ont souvent leurs propres intérêts qui sont en jeu et la représentation qu'ils en donne est plus souvent qu'autrement partiale et non adéquate. Il est plus facile d'examiner à froid les faits lorsque ces personnes, de puissants lobbies ou institutions qui les supporte ne sont plus en mesure d'entraver
le recours à l'esprit critique (par exemple en jouant sur l'émotivité du public).
Si cette prophétie s'avère vraie donc, ce ne sera pas parce que l'absence de ces personnes entraînera une amnésie collective, mais parce que nous comprendrons mieux l' "Holocauste " si l'influence de ces groupes qui ont de forts intérêts en jeu décline peu à peu; l'émotivité, les réflexes conditionnés joueront alors un rôle mineur.
On entend parfois certaines personnes dire que la disparition des témoins permettra à qui veut de nier des "faits "; c'est aussi absurde que de dire que la disparition des témoins oculaires des exécutions commises pendant la révolution française entraînerait automatiquement un grand nombre de gens à douter que de telles exécutions aient réellement eu lieu. Notre connaissance de faits historique ne dépend pas de la présence de témoins vivants; elle s'avère souvent plus fiable une fois que la poussière est retombée. Les doutes qui nous amènent à réviser les idées reçues ne peuvent naître que s'il y a des raisons solides et objectives pour douter.
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Le mot Holocauste provient du grec et veut dire la combustion complète d'animaux sacrifiés alors que le mot Shoah en hébreux signifie catastrophe. On utilise aujourd'hui ces mots pour référer à l'annihilation quasi complète d'un groupe de personnes par la violence, ici les juifs vivant sous occupation allemande lors de la dernière guerre. La privation de droits individuels, l'expulsion, la déportation et la mise aux travaux forcés d'individus sont des choses qui se sont produites souvent au cours de l'histoire. Ces actes n'ont cependant pas toujours comme conséquence l'annihilation physique d'un groupe de gens. Pourtant c'est l'impression que souvent le public en a, i.e. que l'Holocauste aux mains des nazis est prouvé par ces événements. Si tel était le cas alors la répression récente des noirs en Afrique du Sud, celle des Palestiniens sous domination israélienne ou encore le sort des indiens et des noirs d'Amériques jusqu'au milieu du siècle dernier pourraient aussi être vus comme faisant partie d'un holocauste.
La vision historique traditionnelle de l'Holocauste caractérise celui-ci par :
Ce génocide à l'aide de chambres à gaz à haut rendement et la crémation subséquente des corps, cet acte planifié, méthodique, commis de sang froid est donc décrit comme un événement unique dans l'histoire pour lequel aucun précédent n'existe.
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Etant donné l'image fausse que se fait le public de ceux-ci en général il est préférable de dire d'abord ce que le révisionnisme ne soutient pas :
Toutes ces injustices commises par le régime nazi ne sont pas contestées par les révisionnistes de l'Holocauste. Pour ceux-ci cependant toutes ces mesures n'ont rien à voir avec le meurtre de millions de gens dans des chambres à gaz, i.e. l'Holocauste (voir . Question 4).
Les révisionnistes de l'Holocauste affirment cependant :
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Raul Hilberg |
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Photo prise par les troupes britanniques et montrant les victimes du typhus dans le camp de concentration de Belsen-Bergen. |
L'image ci-haut d'une pile de corps au camp de Belsen-Bergen est typique de celles qu'on voit habituellement. De telles images sont montrées fréquemment à la télévision, parfois sans commentaire, parfois avec un commentaire trompeur décrivant ces gens comme des victimes de l'Holocauste. Elles ont été prises après la libération des camps à la fin de la guerre. En fait, ces images parlent d'elles même et montrent que ces gens n'ont pas été assassinés mais sont morts d'épidémies. On peut s'en rendre compte par l'état des corps. Si ces gens avaient été gazés à leur arrivée ils ne seraient pas aussi émaciés. S'ils étaient morts de faim ils auraient des articulations enflées et des ventres bombés. Un médecin reconnaîtrait à la vue de ces images qu'il s'agit de victimes d'une épidémie de typhus.
Dans les faits ces images ont été prises dans les camps de concentration de l'Europe de l'Ouest (Dachau, Belsen-Bergen, Buchenwald) là où les historiens reconnaissent aujourd'hui qu'il n'y a pas eu de programme d'extermination (voir M. Weber). Il n'y a pas d'images similaires montrant des montagnes de corps dans les camps dits d' "extermination " (Auschwitz,Treblinka, Belzec, Sobibor, Chelmo, Majdaneck). Ces derniers camps sont tous passés sous contrôle soviétique à la fin de la guerre. Les Soviétiques n'ont cependant publié aucune photo similaire et n'ont permis à aucun journaliste, médecin ou autre expert d'enquêter sur place, un fait qui parle de lui-même. Les tentatives révisionnistes de la fin des années quatre vingt pour enquêter sur place et examiner les traces d'un tel meurtre sous tous les angles possibles ont gravement été entravées par les autorités locales.
Il est probable que l'utilisation systématique de ces images amène à penser que la famine, le typhus et les autres maladies facilitées par la carence de fournitures médicales et alimentaires dans les camps de l'Ouest sont le fruit d'une politique délibérée destinée à tuer lentement. Cette vision d'horreur a amené les premiers observateurs de l'Ouest qui ont vu ces camps à rapporter de telles histoires. Ces conditions déplorables sont cependant reliées à des circonstances particulières : Himmler avait ordonné de façon absurde l'évacuation des camps menacés par les Soviétiques et le regroupement des prisonniers dans les autres camps – déjà surpeuplés - en Allemagne. Simultanément les bombardements massifs des alliés menèrent à l'écroulement de toutes les infrastructures du Reich, y compris les réseaux de communication, d'où la catastrophe que l'on connaît.
L'historien réputé à tendance gauchiste Norbert Frei mentionnait le fait que ces images de corps dans les camps libérés par les Américains sont encore incorrectement interprétées par beaucoup de gens aujourd'hui: (Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte, 35 (1987) p. 400):
"Le choc provoqué par cette découverte entraîna plusieurs personnes à tirer de fausses conclusions dont certaines ont persisté par la suite. Paradoxalement, il permit aussi que des conclusions véridiques soient tirées d'un point de vue politique et historique."
De toute évidence un gouvernement qui incarcère des gens doit être tenu responsable de leur sort. Le troisième Reich est donc responsable du sort de ces gens détenus injustement même lorsque ceux-ci ne sont morts "que" d'épidémies. On doit malgré tout mettre en relief le sort de millions d'infortunés qui n'ont pas reçu autant de publicité. A la fin de la guerre l'Allemagne croulait sous les corps. Dans les villes allemandes on comptait au moins 600,000 victimes civiles des bombardements alliés. Partout la faim et les épidémies régnaient de sorte que des millions en étaient morts en 1949. Dans l'Est de l'Allemagne et en Tchécoslovaquie du Nord on comptait jusqu'à trois millions de victimes allemandes suite aux expulsions massives et souvent meurtrières commises par les Serbes, Tchèques, Polonais et Russes. Dans les camps établis par les conquérants alliés végétaient des millions de jeunes prisonniers de guerre et jusqu'à un million périrent. D'innombrables autres furent internés dans les goulags soviétiques : Des centaines de milliers ne revinrent jamais. On ne voit que les corps des prisonniers des camps de concentration dans les médias cependant, on peut bien se demander pourquoi.
Serais-ce que quels que soient les crimes et leur importance, seule la nationalité des victimes compte ?
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Du point de vue des victimes cela ne fait aucune différence. Quelqu'un pourra même se dire qu'il est moins désagréable de mourir rapidement gazé que d'agoniser longuement d'une maladie. Mais d'un point de vue allemand le chagrin des victimes ou l'intensité de leurs souffrances – que personne ne remet en question – n'est pas l'aspect primordial. Ici la véracité historique est en cause, et par conséquent la notion de culpabilité collective, du "peuple coupable" et de tout ce qui en découle pour celui-ci.
Du point de vue de l'historien comme de celui qui est constamment mis en accusation il y a une différence gigantesque entre la mort de gens au cours d'épidémies qui n'ont pu être maîtrisées et le meurtre froid et calculé d'un nombre colossal de gens à l'aide de moyens industriels. Les exemples de catastrophes humanitaires, d'épidémies et de famines causées par des persécutions et/ou l'absence de planification militaire et/ou l'écroulement d'un pays abondent dans l'histoire humaine. Ce ne sont plus que les responsables qui sont accusés de ce crime unique, mais le peuple allemand en entier. Ainsi les Allemands en sont encore aujourd'hui à devoir s'auto-flageller et à payer le prix fort alors que les victimes réelles ou supposées en tire un énorme bénéfice (voir ici Norman Finkelstein).
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Incontestablement cet énoncé recèle du vrai puisqu'une seule victime serait déjà une victime de trop. Quelqu'un pourrait même aller plus loin : L'adoption de mesures qui pouvaient un jour entraîner ces décès était en soi inacceptable. L'utilisation de cet énoncé pour prévenir toute enquête sur ce sujet serait un choix douteux cependant, et ce pour trois raisons :
Premièrement cet argument suggère que le chiffre de six millions est peu important alors que depuis des décennies on nous martèle celui-ci comme un dogme sacro-saint. Si le chiffre des victimes n'était pas aussi important alors on aurait pas à protéger celui-ci comme un tabou social, en faisant de sa contestation un comportement criminel. De toute évidence derrière le chiffre de six millions ne se cache pas uniquement la tragédie d'une multitude d'individus; c'est un chiffre symbolique qui ne peut pas, qui ne doit pas être abandonné. La remise en question est vue comme une conduite dangereuse ou l'Holocauste est "complexifié" inutilement au-delà du dogme. Tout comme chaque victime est déjà une victime de trop, il doit aussi être possible d'adopter une approche scientifique et rationnelle pour décortiquer ce nombre. On note ici que l'establishment a un comportement plutôt schizophrénique; d'un côté on nous dit que quiconque met en doute le chiffre de six millions doit être considéré comme un paria, voir un criminel, mais face à l'émergence d'arguments valides certains se rétractent soudainement en disant que le chiffre des victimes n'a aucune importance. Le chiffre de six millions compte-t-il ou ne compte-t-il pas ?
Deuxièmement – et ceci est l'argument principal -, si moralement une victime est déjà une victime de trop alors aucune objection contre une enquête approfondie ne peut être justifiée. C'est d'autant plus vrai que rien ne doit empêcher une approche rationnelle pour trouver des réponses exactes à des questions précises. Que dirait-on si des gens prétendaient qu'un physicien ne doit pas tenter de calculer la quantité d'explosifs nécessaire à une expérience parce qu'un peu d'explosifs fait déjà beaucoup de dégâts ? Un physicien se soumettant à une demande aussi absurde en viendrait inévitablement à des résultats incorrects et serait un danger public pour la société. L'argument tient aussi pour la science historique ; si l'on entrave la libre recherche en utilisant des arguments "moraux" les résultats proclamés comme " vrais ", les seuls permis, deviennent plus que douteux. Si la politique prend le pas sur la science alors celle-ci n'est plus elle-même. Il est du devoir de quelqu'un qui dit soutenir celle-ci se procéder aux calculs les plus précis possibles. Ce qui est vu comme une approche cruciale en ingénierie, en physique ou en chimie ne peut être vu comme malsain dès qu'on touche à l'histoire contemporaine, faute de quoi on retombe au moyen âge.
Troisièmement l'argument moral pourrait être que puisqu'une victime est déjà une victime de trop alors il n'y a aucune objection à amener une étude détaillée de ce crime "unique " et "particulier ". Un crime unique doit être examiné en détail comme tout autre crime. J'irai même plus loin : Si quelqu'un pose le postulat du crime unique, alors cette personne doit accepter le principe d'une "enquête unique." Celui qui tente de placer au-dessus de toute critique la version habituellement donnée à l'aide d'un arsenal législatif donne de facto son aval à d'autres crimes commis, contre les Allemands surtout. Cette notion de "crime unique" n'est en effet là que pour dédouaner les puissances s'étant rendues coupables elles aussi de crimes – contre l'Allemagne -.
Il en est ainsi dans notre monde moderne, qui permet en d'autres cas aux plus grands criminels de s'expliquer en cours, un fait pour le moins ahurissant !
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Chaque victime d'une injustice doit normalement recevoir une compensation et toute victime d'une injustice commande le respect. Il n'appartient pas au révisionnisme de rejeter ce principe, en autant qu'il s'applique à tous. Ce n'est pas le révisionnisme en lui-même qui peut déterminer quelle réparation est adéquate. Si les arguments présentés démontrent qu'il y a eu moins de victimes que ce qui était précédemment estimé cela n'a pas nécessairement comme impact la cessation des paiements ou même d'une partie de ceux-ci puisque ce sujet est politique.
Depuis la fin de la guerre l'Allemagne a payé 100,000,000,000 de DM de réparations à des individus ou à des institutions juives. En même temps environ 5,500,000 demandes de réparations ont été faites par d'anciens prisonniers survivants (comme on peut le voir beaucoup de gens ont survécu aux camps nazis !) Les contribuables allemands culpabilisés doivent donc remplir leurs obligations et on note une escalade de demandes diverses depuis quelque temps.
Une question est pourtant complètement ignorée, pourquoi après 55 ans faudrait-il augmenter encore les réparations ? Pourquoi les Allemands d'aujourd'hui doivent-ils céder à toutes les nouvelles demandes qui sont faites ? 99.9% des contribuables allemands ont 65 ans et moins, ce qui veut dire que les plus âgés d'entre eux avaient 9 ans à la fin de la deuxième guerre mondiale. Puis-je poser au lecteur allemand la question de façon provoquante, mais directe :
Combien de juifs avez-vous tué dans votre vie, combien d'étrangers avez-vous exploité comme esclave, combien de membres de minorités avez-vous exploité?
La question est en soi absurde, puisque la réponse sera évidemment : aucun. Pourquoi alors payez-vous des milliards en réparations, pourquoi devez-vous continuellement surenchérir en génuflexions, montrer du repentir, de l'humilité et de la renonciation ? Etes-vous surpris que les taxes continuent de monter en Allemagne en même temps que le chômage ?
Peut-être vous rappelez-vous ce principe du christianisme qui a influencé la constitution de tous les états occidentaux modernes : Il ne peut y avoir de culpabilité collective ou nationale pour les actes de certains individus, pas plus que la culpabilité ne peut se transmettre par héritage. Ce principe est aujourd'hui ignoré. Les Allemands doivent maintenant payer et payer pour les crimes (présumés) de leurs parents, de leurs grands-parents et bientôt de leurs arrière-grands-parents !
On peut se demander alors quand les descendants des millions d'Allemands exploités comme travailleurs forcés par les puissances alliées pendant des années après la guerre demanderont eux aussi des réparations ? Quand les douze millions d'Allemands expulsés de la partie ouest de la Pologne d'aujourd'hui feront de même ? Quand les familles des trois millions de victimes causées par ces expulsions, ou des 600,000 morts suite aux bombardements délibérés d'objectifs civils feront de même ? Quand les millions de victimes de l'après-guerre, des conditions épouvantables causées par le démantèlement de l'industrie, du blocus alimentaire ou des camps mis sur pied par Einsenhowers demanderont justice? (voir J. Bacque)
Est-ce que les victimes ne commandent pas toutes le même respect et les mêmes réparations, ou bien est-ce que les individus n'ont pas tous la même valeur ?
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Les révisionnistes ne forment pas un groupe très homogène.
. Par exemple il y a des juifs (Josef G. Burg, Roger-Guy Dommergue, David Cole, Stephen Hayward), des chrétiens (Germar Rudolf, Michael A. Hoffman, Robert Countess), des musulmans (Ibrahim Alloush, Ahmed Rami) et des athées (Bradley Smith, Robert Faurisson).
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Paul Rassinier, professeur de géographie et d'histoire, fut interné plusieurs années dans des camps de concentration allemands pour son activité dans la résistance. Il s'appliqua à dénoncer les mensonges de ses ancien co-détenus dont E. Kogon et fonda le révisionnisme historique. |
On retrouve parmi eux d'anciennes victimes de persécutions nazies et des camps (Paul Rassinier, Josef G. Burg), d'anciens soldats allemands (Werner Rademacher, Wilhelm Stäglich) et d'anciens soldats des forces alliées (Douglas Collins).
Il y a des professeurs d'université (Prof. Robert Faurisson, Prof. Arthur R. Butz, Prof. Christian Lindtner, Prof. Costas Zaverdinos), des détenteurs de doctorat (Dr. Wilhelm Stäglich, Dr. Robert Countess, Dr. Stephen Hayward, Dr. Herbert Tiedemann), des chimistes, des physiciens ou des ingénieurs (Michael Gärtner, Germar Rudolf, Arnulf Neumaier, Friedrich Berg), des historiens Mark Weber, Robert Countess, Carlo Mattogno), des enseignants (Jürgen Graf).
Il y a des communistes et des socialistes (Paul Rassinier, Roger Garaudy), des partisans de l'extrême gauche anarchiste Pierre Guillaume, Serge Thion), des libéraux (Andrew Allen, David Cole, Bradley Smith, Richard Widmann), des conservateurs (Germar Rudolf, Carlo Mattogno, Werner Rademacher), des gens de droite (Udo Walendy, Mark Weber) ou des supporters du national-socialisme (Ernst Zündel). (Da dem Autor dieses Schriftstückes noch nie etwas daran lag, Revisionisten politisch auszuhorchen, wird hier keine Garantie für die Richtigkeit dieser Zuordnung gegeben.)
On a donc des Français (Robert Faurisson, Pierre Guillaume, Roger Garaudy, Paul Rassinier, Vincent Reynouard, Jean Plantin), des Américains (Bradley Smith, Mark Weber, Arthur Butz, Richard Widmann, Fredrick Leuchter), des Allemands (Germar Rudolf, Werner Rademacher, Michael Gärtner, Arnulf Neumaier, Wilhelm Stäglich), des Suisses (Jürgen Graf, Arthur Vogt), un Italien (Carlo Mattogno), un Espagnol (Enrique Aynat) un Jordanien (Ibrahim Alloush), un Marocain (Ahmed Rami), des Suédois, des Danois, des Britanniques, des Polonais, des Russes et plusieurs autres.
(Voir l'index des auteurs pour avoir accès à ses livres et articles
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Le fait que les révisionnistes forment un groupe qui manque totalement d'homogénéité (voir question 6), rend toute réponse impossible. Les clichés prétendant répondre à cette question sont donc inadéquats ; en fait ceux-ci n'ont qu'un seul point en commun : Ils veulent convaincre à l'aide d'arguments que leurs thèses sont justes. A l'exception de ce point commun qui les uni les révisionnistes en seraient réduits à se quereller violemment dans d'incessantes disputes politiques. Il est par conséquent incorrect et trompeur de dire que ceux-ci poursuivent un but politique précis ; leurs vues sont trop divergentes.
Le cliché communément répandu par les médias et la classe dirigeante en Allemagne est que ceux-ci ont pour but de réhabiliter l'idéologie national-socialiste d'installer un régime autoritaire d'extrême droite. Cependant cette description ne peut s'appliquer qu'à une fraction de ceux qui défendent les thèses révisionnistes.
Quelques exemples frappant suffiront à illustrer jusqu'à quel point les révisionnistes forment un ensemble disparate:
Paul Rassinier: Quels motifs politiques pouvaient guider un communiste français résistant, arrêté et torturé par la Gestapo, puis envoyer dans un camp de concentration auquel il survécut ?
Josef G. Burg: Quels motifs politiques pouvaient guider un juif tenu en captivité tant par les Allemands que par les Russes durant la seconde guerre mondiale ?
David Cole: Quels motifs peut avoir un jeune juif libéral progressiste américain ?
Fredrick Leuchter: Quels motifs peut avoir un expert américain en techniques d'exécutions capitales qui ne s'est jamais intéressé à la politique ?
Pierre Guillaume, Serge Thion: Quels motifs peuvent avoir des anarchistes issus de l'extrême gauche française ?
Roger Garaudy: Quels motifs peut avoir cet intellectuel français communiste de longue date ?
Bradley Smith, Richard Widmann: Quels motifs peuvent avoir ces deux Américains aux idées plutôt libérales ?
Vincent Reynouard, Jean Plantin, Germar Rudolf: Quels motifs peuvent avoir ces jeunes conservateurs et libéraux nés dans les années soixante dix ?
Par-dessus tout peut-on penser que tous ces gens ont en commun un but politique ou ne sont-ils pas unis par autre chose ? Citons ici Germar Rudolf :
" Chaque fois les soupçons viennent, les révisionnistes veulent blanchir le national-socialisme, rendre l'extrême droite présentable, apporter des éléments nouveaux qui permettrait à celle-ci de percer. J'aimerais ajouter ceci :
Le facteur qui doit guider nos recherches historiques est la recherche de ce qui s'est réellement déroulé (en suivant la ligne tracée par le grand historien allemand du XIX ième siècle Leopold Ranke). Elles ne doivent pas par exemple s'imposer comme tache d'affirmer que les opérations menées par Gengis Khan et ses guerriers mongols étaient des crimes infâmes ni d'excuser celui-ci ; si quelqu'un réclamait maintenant qu'on interdise toute recherche menant à des conclusions propres a limiter l'ampleur des crimes qu'on reproche aux mongols on s'empresserait de railler cette personne en demandant pourquoi une étude historique sérieuse se devrait de cerner le personnage en se basant uniquement sur l'idée que ses adversaires ou ses victimes pouvaient s'en faire.
La même chose peut être dite à propos de Hitler et du troisième Reich. Chaque révisionniste, chaque anti-révisionniste peut avoir son opinion politique. L'affirmation selon laquelle les conclusions révisionnistes n'auraient pour but que de blanchir le troisième Reich et qu'il est justifie de considérer celles-ci comme criminelles a cependant un effet boomerang. En effet il est suggère clairement qu'il est inadmissible de réhabiliter le nazisme historiquement (et par voie de conséquence moralement – du moins en partie -). Celui qui affirme une telle chose affirme implicitement qu'il n'est pas intéressé par la véracité des événements mais uniquement par le désir d'accabler politiquement le nazisme. On peut donc dire qu'à chaque fois que pour faire taire les révisionnistes on reproche à ceux-ci de vouloir en faire un instrument politique, alors l'accusation peut se retourner contre ses auteurs.
Nicht die Revisionisten sind es also per se, die von politischen Motiven geleitet werden, sondern mit unumstößlicher Sicherheit all jene, die den Revisionisten vorwerfen, sie wollten eine längst vermoderte geschichtliche Gestalt, ein längst untergegangenes politisches System aus einer längst vergangenen Epoche irgendwie historisch entlasten.
En bref: Nous ne devons pas nous intéresser dans nos recherches sur les résultats obtenus ou la 'valeur morale' que lui prête des régimes politiques mais seulement aux faits. Rejetter ce principe est anti-scientifique."
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Théoriquement non. La déclaration des droits de l'homme des Nations Unies qui lie l'Allemagne ainsi que la constitution interne de la République Allemande garantit le droit a la liberté de parole et a la liberté de recherche scientifique (article 5). Cependant la liberté de parole est limitée dans les faits lorsqu'on considère qu'il y a libelle ou incitation au crime – mais la liberté de recherche académique elle, est supposée ne connaître aucune restriction -. Récemment une thèse de doctorat détaillée à propos de "l'aspect criminel du mensonge d'Auschwitz" concluait que le révisionnisme ne doit pas être sanctionne par la loi puisqu'il s'agirait-la d'une atteinte aux droits de l'homme.
Concrètement la situation est très différente. Des révisionnistes sont traînés devant les tribunaux et condamnés à de lourdes amendes ou a la prison depuis le milieu des années 80 et cette tendance s'est accélérée de façon dramatique depuis environ 1995. Ces gens la ne veulent pas croire la version traditionnelle de l'Holocauste ainsi qu'aux chambres a gaz et ont exprimé des doutes oralement ou par écrit là-dessus. Les tribunaux et les médias calomnient ces sceptiques et ces scientifiques non-conformistes en les traitant de “menteurs” (voir par exemple les nombreux rapports mentionnes dans le "Sommaire" des cahiers pour la libre recherche historique (Vierteljahreshefte für freie Geschichtsforschung) ).
En dépit de la déclaration des droits de l'homme un paragraphe non constitutionnel du code criminel allemand (130) mentionne à l'article 3 que “nier” le génocide commis par le national socialisme est passible de cinq années d'emprisonnement. “Nier” se définit comme “maintenir une position fausse en refusant de voir la vérité” Ceci veut donc dire que tout ce qui est décrété dans les livres d'histoire ne peut qu'être vrai et qu'exprimer des doutes ou des vues contraires ne peut qu'être le fruit d'un mensonge délibéré ou pire encore qu'une personne qui le fait ne peut qu'avoir des intentions criminelles – ou être dérangée -. Il est même interdit à ces personnes –ou a leurs avocats - de tenter de prouver leurs doutes devant une cour de justice sous peine de violer la loi. Merveilleux monde moderne!
Ce n'est donc pas le révisionnisme qui est illégal, mais l'approche de la justice allemande. Malheureusement celle-ci a le pouvoir de décider ( la même chose peut être dite de l'Autriche et de la Suisse)
Depuis environ 10 ans l'Allemagne s'est aussi mise à brûler fréquemment des livres, surtout des ouvrages révisionnistes mais pas uniquement ceux-ci, alors que 15,000 personnes sont traînées en Cour chaque année à cause de délits d'opinion (voir en supplément l'étude sur la censure en Allemagne .)
Le document ci-haut à droite prouve jusqu'à quel point les choses sont devenues sérieuses. Les médias ainsi que les autorités allemandes désignent aujourd'hui du doit tout ce qui est à droite du centre politique (incluant des conservateurs et des patriotes) comme des “radicaux” et des “neo-nazis”. Les différences entre partis politiques tolérés sont devenues ténues. Ce qualificatif n'est pas lancé au hasard ; Il est plus facile d'approuver la traque des “neo-nazis” qui sont représentés par les médias comme des gens abominables et brutaux. Considérons-le d'un autre œil: Celui qui accepte à la légère qu'on puisse poursuivre des “neo-nazis” à cause de leurs opinions criminelles déviantes trace la voie pour que demain quelqu'un puisse l'accuser à son tour d'être un neo-nazi parce qu'un voisin l'a vu brandir un drapeau allemand ou chanter l'hymne national! Il est donc du devoir de chaque démocrate de protester contre la traque des dissidents. Ceci tient non seulement lorsque des individus sont poursuivis par une dictature mais aussi lorsqu'ils sont poursuivis par un état se disant démocratique.
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